lucas
Le projet inflexion exigeait la réalisation, sous forme de maquette à l’échelle 1 : 200, d’un parcours architectural ayant un début, une fin, et un point, à un moment quelconque, d’inflexion. Ce moment se devait, d’une manière plus ou moins subtile, de signifier un changement dans l’expérience du parcours en question. Qui plus est, l’étudiant était forcé d’assembler sa maquette à l’aide de tranches verticales, nécessitant une réflexion approfondie sur la manière d’intégrer ce point d’inflexion. Finalement, ce parcours devait être mis en place dans un contexte topographique et dialoguer avec ce dernier.